Les procureurs ont requis, lors du procès du réseau présumé de blanchiment international du « clan mafieux » corse du « Petit Bar », jusqu’à 14 ans de prison pour les 24 prévenus, ainsi qu’environ 17 millions d’euros d’amendes. Ces peines visent à établir l’emprise mafieuse de la bande, qui aurait infiltré divers secteurs de la société et de l’économie, notamment en Corse. Les peines les plus lourdes ont été demandées contre le chef du clan, Jacques Santoni, et d’autres membres clés, avec des condamnations potentielles allant jusqu’à 20 ans d’emprisonnement pour certains.
