Un circuit international fermé, exclusivement dédié aux sports mécaniques électriques et 100 % autonome en énergie, ça n’existe tout simplement pas dans le monde. C’est le rêve démiurgique d’un Porto-Vecchiais, Don Jacques Balesi, désireux de faire aboutir un tel projet en Corse, et sans demander un centime de fonds publics. La barre est haute, très haute, et, s’il est convaincu d’aller dans le sens « écoresponsable » de l’histoire, Don Jacques Balesi se heurte inévitablement à de nombreux obstacles, qu’ils soient d’ordre financier, sociétal, sportif et surtout foncier.

